Le marketing par email, destiné à être remplacé par l'avènement des réseaux sociaux.

Paraît-il.

Pourtant, les marquent investissent, paient et créent des campagnes spécifiques pour obtenir les adresses email de nouveaux clients potentiels. Que ce soit des pages pleines dans les grands quotidiens, sur des tickets de caisse, en offrant des rabais lors des inscriptions -- jusqu'à CHF 150 de bons cadeaux chez Coop! -- ou en première page des journaux les plus distribués en Suisse.

Pourquoi?

Car chaque franc investi dans le marketing par email peut en rapporter jusqu'à 44, de francs, selon le très sérieux Campaign Monitor. Des chiffres qui varient selon les analyses, mais qui tournent toujours autour des CHF 40 de rapportés pour chaque franc investi.

Les grandes entreprises connaissent parfaitement la valeur de l'email, et sont suffisamment créatives pour attirer l'utilisateur.

Et si les réseaux sociaux avaient pour but de remplacer le marketing par email, désormais ils le supportent, des posts sponsorisés invitent les followers à s'abonner aux newsletters.  Et d'autres méthodes, ad-hoc, pullulent: 

• Pages pleines de les journaux (Le Temps)
• Rabais sur les tickets de caisse (Manor)
• 50 CHF de rabais (Migros) sur inscription via l'application
• Posts sponsorisés sur Instagram (RTS)
• Pop-up sur le site de l'entité (Sportx)
• Première page de magazine (Coop), distribué à 2.5 millions d'exemplaires
• Pages pleines dans des grands quotidiens (Le Temps)

Les plus petites structures, les PME, n'ont pas la capacité financière pour implémenter de telles campagnes, encore moins les capacités humaines pour les diriger, les analyser, les décortiquer et les optimiser.  

Cependant, un marketing par email mis en place de manière fonctionnelle et adaptée à sa structure, permet un retour sur investissement. Et si votre structure a les capacités d'offrir des goodies ou autres avantages à de nouveaux prospect, les chances augmentent en conséquence.